منطقة حزام واعمال الثورية بولاية سعيدة

 TIDERNATINE  et HZAM se souviendront  de Mohamed Bencheikh,de Benthabet Kada,Madani Bouziane ,Bent el Ouejdia, Abbes Moussa l’Aspirant Militaire,Baghdaoui Abdelkrim dit Kerroum El-Houdjoum et sa dentition Or et Platine ,Ghaouti ould Bounklouaa, le Commissaire Politique, Atig Djillali l’artificier ’’terreur du rail’’  et son compagnon Abbès Baghdad ,Naar Kerroum,Abidine Djillali ‘’Boubred’’ ‘’Si Abdelkrim’’ Touhami Mustapha, Labane Berrezoug et M’rah Moussa, souidi Mustapha, tous ces patriotes  évoluaient dans la région  et  sont morts au champ d’honneur.

En  été 1958, Atig Djilali avait décidé de confectionner une bombe artisanale qui sera actionné par un fil de fer d’une longueur appréciable pour une protection assurée. Cette bombe sera élaborée à HZAM puis transportée dans une caisse en bois volumineuse et lourde par Souidi Abdelkader, Maamar Chérifi et Souidi Baghdad.L’objectif était la destruction du Poste Transformateur d’électricité du Douar ‘’Carrière’’ de Sidi Maamar qui alimentait en énergie électrique Ain El Hadjar et Wagram (Moulay Larbi).Arrivés, ils déposèrent la bombe à l’emplacement désigné par Atig Djilali qui leur demanda de descendre au bas du ravin pour leur lancer  le fil de fer qui actionnera le détonateur .Au bas de la falaise, le fil actionné provoqua une détonation assourdissante qui nous envoya une pluie  de pierres et de débris alors que le groupe s’éloignait du lieu de l’attentat .

HZAM  (TIDERNATINE) se souviendra du jour d’automne situé entre le  21 Octobre et le  20 Novembre 1958 comme mentionné dans le Bulletin de Renseignement Mensuel du Secteur Opérationnel de Saida ou Mohamed Bencheikh, accompagné de Madani Bouziane et de Chadli Khalfallah en tenue parachutiste ,à ordonné à Cherifi Mohamed qui n’avait pas encore 15 ans de courir sous leurs  balles jusqu’à la Ferme Carrafang et de s’effondrer  sous la guérite sous l’œil médusé de deux commis de souche européenne  armés qui sont descendus mystifiés par la stature des poursuivants. Désarmés, les deux gardes civils furent  embarqués avec les armes dans une carriole qui prit le chemin de Bentrif…...Bent el Ouejdia l’attendait pas loin, prit place avec son Haik à coté de Mohamed Bencheikh comme si de rien n’était.

-Au mois de Mars 1959 durant la dernière quinzaine du mois de Ramadhan à Hzam Chez les Ouled Maachou ,Atig Djillali et son collègue Abbès Baghdad confectionnait dans la Kheima d’Abbès Kada, à partir d’un obus non éclaté ,une bombe à minuterie chargée de bris de ferraille ramenés d’une ferme de colon par Souidi Baghdad , destinée au bar DURANSAU sis à Ain el Hadjar fréquenté par la Légion Etrangère. En réglant la bombe, cette dernière explosa, souffla la tente ou même les piquets disparurent et c’est plus loin que fut retrouvée une jambe entière d’Atig Djilali reconnue grâce au pantalon qu’il portait ce jour la. D’Abbès Baghdâd, quelques morceaux de viande furent ramassés çà et là et c’est à Sidi Berguieg qu’ils allaient reposer pour l’éternité.

-. Au mois de Mai 1959, Mohamed Bencheikh ‘’Lachbor’’ décida d’exécuter le Colon DUFOUR et d’incendier sa Ferme située à Hzam-Tidernatine. Pour cela, il eut recours à l’aide du Djoundi Khayati el Kahlaoui (Hassasnas) et du Moussebel Brahim maamar (ouled Maachou) né en 1920 et ancien militaire de la seconde guerre et décédé en 2003 .Lachbor se rendit à la ferme et se cacha entre le plafond et la toiture alors que les deux autres devaient se cacher et attendre le signal qui était un coup de feu de Mohamed Bencheikh. Le groupe fut signalé par un traitre et le renfort arriva ainsi qu’un hélicoptère qui survolait la ferme. Le djoundi et le moussebel furent arrêtés oubliant ainsi la tête pensante qui réussit, comme toujours à prendre la clef des champs. Le djoundi El Kahlaoui fut exécuté et le moussabel passa deux années en prison, sauvé par les aveux du djoundi qui déclara à l’Armée Française que son compagnon était un traitre qui allait être exécuté. Lors du ratissage qui s’ensuivit le Chef de Région III, Si Abdelkrim ‘’Touhami Mustapha’’ né en 1929 à Maoussa trouva la mort  le 14 Mai 1959, touché à la tête par le tir qui provenait  d’un véhicule blindé. Son secrétaire BENSAAD Baghdâd fut arrêté ainsi  que ABIDINE Djilali ‘’Boubred’’ tous deux blessés et ligotés sur le devant de l’engin furent dirigés vers le 2 eme bureau. BENSAAD Baghdad finira la révolution dans un camp d’internement alors que ABIDINE Djilali dit ‘’boubred’’ sera extrait du centre de torture et égorgé par un de ses anciens compagnons de maquis retourné et devenu un Georges pour assouvir une vengeance qu’il couvait depuis longtemps.

-Vers la fin de l’été 1959, Benthabet Kada et Maarouf Hadj qui était responsable du secteur 55 pour le Renseignement et Liaison avaient trouvé refuge Chez Cherifi Kada .Maamar  Cherifi, posté en Chouf  à Hzam scrutait les routes à l’affut des phares des camions de l’Armée Française. Par curiosité il s’approcha de la petite goubba de Sid el Hadj et entendit des ronflements. Poussé par la curiosité, il poussa la petite porte et se trouva nez à nez avec 04 membres du Commando Georges qui dormaient ; B o/M. se réveilla le tint en jour et l’entrava .Ne le voyant pas revenir son neveu Cherifi Mohamed suivit sa trace et pénétra dans la goubba ou il fut fait prisonnier mais fut mal ligoté.

L’absence prolongée de Maamar Cherifi et de Mohamed Cherifi poussa Cherifi Rahma épouse de Chérifi Kada Merkez Principal à persuader Benthabet ‘’Kada Moustache’’ et Maarouf Hadj, Souidi Baghdad, en se joignant à eux, à aller jeter un coup d’œil. Kada Moustache fit irruption dans la Goubba et dit de lever les mains.03 commandos obtempérèrent, dans la confusion Cherifi Mohamed se détacha de ses liens et Ben… blessa d’ un coup de poignard Kada Moustache, le commando  eu le crane défoncé par une pierre assénée avec force .Un autre Commando A.L subit le même sort et les deux autres prirent la fuite abandonnant leurs armes, prirent un cheval qui paissait non loin de la  et prirent le chemin de Saida. Kada Moustache, blessé  et Maarouf Hadj quittèrent la région avec l’armement laissé par les Commandos. Cherifi Rahma partit vers Graba el Oued –Saida pour s’y refugier.

Les deux commandos revinrent avec  youssef Benbrahim qui rassembla les gens du Douar pour leur demander de restituer l’armement dérobé et demanda à ses commandos d’identifier les individus. Aucune réponse, Youssef reconnut  cherifi  kada qui venait juste de sortir du centre de transit .Youssef l’emmena a sidi terhamou et l’exécuta prétextant qu’il était a l’origine de ce drame et brula par la même occasion les tentes et céréales des matmoras prenant cheptel et tapis de cherifi rahma épouse de cherifi kada merkez raiissi. . (Cheptel, céréales razzies et tentes incendies de la femme dont la cache se trouvait sous sa tente et qui existe a ce jour.

Furent exécutés : En premier les 02 Commandos Georges pour avoir déserté et abandonné leurs armes.

-Cherifi mohamed ould ali ne en 1921

-Cherifi ali ould mohamed ne en 1926 nes tous deux a tafraoua ont ete assassines 10/09/1959 près de sidi terhamou.

-Cherifi  ahmed ould djillali n’é à tafraoua fut assassine 10/09/1959 prés de sid chikh ou fut tue le commando b……..

-Cherifi chikh né en 1934 à  tafraoua disparu à ce jour.

-Maachou kada ould ali né en 1919 a tafraoua assassine le 10/09/1959 prés de sa demeure.

-Cherifi  maamar né à  tafraoua assassine le 10/09/1959.

Hocine ouali